• Génocide et Mondialisation: la Kollaboration En Marche, avec le monde arabo-turc, également!

     

     

     

     

     

     

     

    https://europalestine.com/wp-content/uploads/2024/02/latuff-blocus-netanyaou-et-Sisi.jpg

     

    Quelques réflexions à propos des données chiffrées de la collaboration arabo-sioniste telles que citées récemment par Europalestine(*), qui en dénonce les effets génocidaires supplémentaires contre le peuple de Gaza.

    (*A la suite, et en lien, avec doc PDF)

     

     

     

    Les idéologies sont utiles pour entraîner les peuples dans des transformations historiques, et parfois, positivement et historiquement nécessaires, mais elles sont donc le produit de circonstances particulières et donc nécessairement caduques avec le temps et l’évolution, sauf à évoluer elles-mêmes, et drastiquement, au point, donc, dans le meilleur des cas, de ne conserver que leur nom, tout en changeant radicalement de fonction.

    Il nous faut donc constamment réévaluer les situations en nous débarrassant de nos préjugés idéologiques.

    Dans l’histoire présente le constat est simplement que l’axe de la Résistance antisioniste passe par l’islam chiite et ses différentes formes.

    Je n’ai aucune passion pour cette religion, pas plus que pour aucune autre, et même, du point de vue de ses principes théologiques, c’est une religion particulièrement archaïque, pour dire le moins. Même par comparaison à l’islam sunnite, à priori plus « avancé », tout étant relatif, et de très peu, et donc surtout formellement, alors que le vécu actuel de ces deux religions indique dans la pratique une tendance nettement contraire et donc une « avancée » nettement plus positive de l’islam chiite dans la mise en œuvre de politiques « humaines », tout restant relatif, et en tous cas de Résistance concrète.

    Le fait est donc que l’idéologie politico-religieuse chiite entraîne actuellement les peuples du Proche et du Moyen-Orient dans une stratégie de Résistance globale que les pseudo-« antisystèmes » occidentaux de tous poils, pseudo-« marxistes » ou non, restent même tout à fait incapables de simplement concevoir.

    En collaborant avec le sionisme comme l'article cité par Europalestine le résume si bien, les pays musulmans sunnites ne font que suivre leur nature profonde d’États « théocratiques » inféodés au mondialisme en marche et donc, par contre, en suivant leur nature intrinsèque on ne peut pas vraiment dire qu’ils « trahissent » quoi que ce soit, sauf les illusions idéologiques qu’ils ont entretenues pendant quelques décennies et uniquement dans la mesure où elles étaient au service des intérêts de ces « théocraties », et non pas au service de l’intérêt des peuples.

    Il est évident que l’idéologie politico-religieuse chiite va actuellement avec les intérêts de l’Iran et de ses alliés, en tant que nations, mais comme elles sont actuellement précisément mises au ban du reste des nations inféodées au mondialisme banco-centraliste, cela rentre donc en concordance avec l’intérêt  général des peuples, tout comme la mise au ban de la Russie en fait bon gré mal gré une autre base de Résistance face au mondialisme.

    Bien évidemment, donc, cette situation historique est un moment qui peut s’étaler encore sur quelques décennies, tout comme il peut connaître une évolution régressive, comme ce fut le cas pour l’URSS. Son évolution semble pour l’instant « ascensionnelle » et faute de la constitution d’une force de Résistance suffisamment endogène et même simplement, digne de ce nom, en Occident, nous devons donc en tenir positivement compte.

    Comme le montre ce passionnant article, avec ses données concrètes, on voit donc bien que le « double-jeu » n’est pas l’effet d’une « trahison idéologique » mais bien au contraire, la règle, celle de la mondialisation banco-centraliste, qui met au premier plan le contrôle des ressources, avant même les questions de « rentabilité », réglées, in fine, par les ajustements des politiques monétaires des uns et des autres.

    Dans le genre « double-jeu » le cas de l’Égypte est donc un peu particulier car elle semblait devoir être la « porte de sortie » pour une évacuation de la Bande de Gaza qui eut laissé les mains totalement libres à la colonisation sioniste de ce territoire.

    En refusant de jouer ce jeu, essentiellement pour des raisons de politique intérieure, semble-t-il, elle a donc condamné certainement la population de Gaza à subir de plein fouet la brutalité du sionisme, mais elle a aussi condamné le sionisme à apparaître aux yeux du monde très ouvertement et désormais « juridiquement » comme une puissance génocidaire, et du fait de l’évidence de toutes ses complicités, comme une simple prolongation et appendice local du système génocidaire global qu’est le mondialisme banco-centraliste.

    Cette « révélation au grand public » est donc la conséquence étrange et paradoxale du « double-jeu » de l’Égypte, mais qui l’a amené, en cette circonstance précise, à une sorte de « résistance passive », quelle qu’en soit la cause réelle.

    Il n’y a donc lieu ni de louer ni de condamner l’Égypte, pour ce fait, mais il y a simplement lieu d’en tirer les conséquences rendues possibles, en termes de constat et de dénonciation globale du sionisme et du mondialisme banco-centraliste, apparaissant ainsi nettement comme deux phénomènes intrinsèquement liés et interdépendants, en tout état de cause, pour le contrôle du Proche et du Moyen-Orient, tant en termes de ressources que de voies de passages pour la mondialisation, et donc pour le processus lui-même de mondialisation banco-centraliste.

     

    Luniterre

     

     

    ***************************************************************************************

     

     

    https://europalestine.com/wp-content/uploads/2024/02/EAU-israel.png

    Collaboration avec Israël :

    l’hypocrisie arabo-turque 

     

    2 février 2024    ACTUALITÉS

     

    La trahison des régimes arabes se poursuit. La Treizième chaîne israélienne révèle cette semaine l’afflux de camions arrivant en Israël en provenance des Émirats arabes unis, d’Arabie saoudite et de Jordanie.

    Ce couloir terrestre a été activé après l’embargo maritime et le ciblage de navires israéliens par le Yémen. 

    Plus globalement, la base de données des Nations Unies sur les importations israéliennes révèle des surprises sur les liens économiques d’un certain nombre de pays arabes et turc, malgré le génocide en cours.   

    Nouvelles de Palestine a résumé quelques chiffres clés à partir de cette base de données de l’ONU. 

    1/ La Turquie sans surprise  

    « Bien qu’il ne s’agisse pas d’un pays arabe, la Turquie a été le premier État musulman au monde à établir des relations diplomatiques avec Tel Aviv, et elle est aujourd’hui à la tête du peloton des États d’Asie occidentale qui stimulent les importations israéliennes. 
    Rien qu’en 2020, la valeur des exportations turques a grimpé à 5,7 milliards de dollars, ce qui représente 6,2 % du total des importations israéliennes cette année-là.
     

    Le fer et l’acier (1 milliard de dollars), les plastiques (464 millions de dollars), l’équipement électrique et électronique (347 millions de dollars), les véhicules (331 millions de dollars), les machines (299 millions de dollars), les métaux (261 millions de dollars) et les matériaux de construction (188 millions de dollars) constituent la pierre angulaire des exportations turques vers Israel. 

    Le rôle de la Turquie n’est pas négligeable non plus dans les livraisons de pétrole à Israël.
    Israël importe tout son approvisionnement en pétrole et consomme environ 220 000 barils par jour. De ce nombre, 62 % proviennent de deux pays à majorité musulmane, à savoir le Kazakhstan (93 000 barils) et l’Azerbaïdjan (45 000 barils). Pour faciliter l’importation de la majeure partie du pétrole israélien, le port turc de Ceyhan dans le sud-est de Turquie joue un rôle crucial. Il sert de point de chargement pour les pétroliers transportant du brut du Kazakhstan et de l’Azerbaïdjan à travers la mer Caspienne via le pipeline Bakou-Tbilissi-Ceyhan.
     

    Malgré les tensions croissantes et la rhétorique de certains États régionaux à l’égard d’Israël depuis le début de son assaut militaire contre la bande de Gaza, l’activité commerciale reste en grande partie ininterrompue. La Turquie, bien qu’Erdogan qualifie Israël d’État « terroriste », contribue grandement au bien-être économique d’Israël en aidant Tel Aviv à contourner le blocus yéménite, en augmentant ses exportations globales vers Israël et en jouant un rôle central dans le transport pétrolier.

    Malgré la guerre contre Gaza, les exportations turques sont passées de 319,5 millions de dollars en novembre 2023 à 430,6 millions de dollars en décembre – même plus que les 408,3 millions de dollars exportés en juillet, avant l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » du 7 octobre. 

     

    2/ Les Émirats arabes unis en plein essor 

    En deuxième place se trouvent les Émirats arabes unis, qui ont normalisé les liens avec Tel Aviv dans le cadre des accords d’Abraham négociés par les États-Unis en 2020, et ont été le premier État arabe à signer un accord de libre-échange (2022) avec Israël dans le cadre d’un plan visant à stimuler le commerce mutuel à 10 milliards de dollars par an. Les exportations de l’État du golfe Persique ont été évaluées à 1,89 milliard de dollars en 2022, représentant 2,1 % de toutes les importations israéliennes.
    La hausse de 1543 % de la valeur des exportations émiraties vers Israël depuis l’accord de normalisation est particulièrement intrigante. Les catégories d’exportation remarquables comprennent les métaux et pierres précieux (525,32 millions de dollars), le fer et l’acier (483,95 millions de dollars), les équipements électriques et électroniques (210,71 millions de dollars) et le pétrole (94,55 millions de dollars).
     

     

    3/ La Jordanie, croissance massive  

    La troisième place se trouve la Jordanie, dont les exportations vers Israël en 2022 ont atteint 469,25 millions de dollars, soit une augmentation massive de 489 % par rapport à 2018. Les principales catégories d’exportation du Royaume hachémite comprennent les plastiques (135,2 millions de dollars), les équipements électriques et électroniques (127,93 millions de dollars) et le fer et l’acier (74,35 millions de dollars). 

     

    4/ Égypte 

    Quant à l’Égypte, le premier État arabe à faire la paix avec Israël et à le reconnaître, ses exportations de 2022 vers l’État d’occupation se sont élevées à 179,31 millions de dollars. Les catégories d’exportation notables comprennent les produits chimiques inorganiques, les composés de métaux précieux (61,15 millions de dollars), les matériaux de construction (14,26 millions de dollars), les denrées alimentaires (12,78 millions de dollars) et les plastiques (11,32 millions de dollars). 

    Sans compter bien entendu la collaboration de Sissi au maintien du caractère hermétique du camp de concentration de Gaza. 

     

    5/ L’Algerie, la surprise  

    Étonnamment, l’Algérie arrive à la cinquième place, avec des exportations à destination d’Israël atteignant 21,38 millions de dollars en 2022, dont la majorité sont des produits chimiques inorganiques, des composés de métaux précieux et des isotopes. La révélation des relations commerciales entre l’Algérie et Israël par la base de données des Nations Unies soulève des questions sur la position de longue date de l’Algérie contre la normalisation, y compris sa criminalisation il y a deux ans. 

     

    6/ Le Maroc 

    Le Maroc se situe à la sixième place, avec des exportations vers Israël s’élevant à 17,92 millions de dollars en 2022, principalement composées de denrées alimentaires. Rabat a repris ses relations diplomatiques et commerciales avec Israël dans le cadre des accords de 2020. 

     

    7/ Bahreïn, en croissance 

    Enfin, les exportations de Bahreïn vers Israël en 2022 ont atteint 10,58 millions de dollars, ce qui reflète une augmentation étonnante de 12 083 % par rapport à 2020, l’année de l’accord de normalisation entre Manama et Tel Aviv. Les principales exportations comprennent l’aluminium (8,78 millions de dollars) et le fer et l’acier (2,62 millions de dollars). 

    À ce titre, les exportations combinées des pays d’Asie occidentale vers Israël ont augmenté de près de 111 %. 

    CAPJPO-EuroPalestine

    https://europalestine.com/2024/02/02/collaboration-avec-israel-lhypocrisie-arabo-turque/

    EN DOC PDF: http://ekladata.com/Vc614G2W94zbJPb-bnHHDu0wkDU/europalestine.com-Collaboration-avec-Israel-lhypocrisie-arabo-turque.pdf


     

    Le Yémen détourne en mer rouge un navire en direction d’Israël

    USA Vs Reste du Monde: toujours deux poids deux mesures!

     

     

     ************************************************************

     

     

    Pour comprendre l'évolution de la transition de l'impérialisme au banco-centralisme :

     

     

    Fini 2023, baptême de 2024: deux gouttes d'eau ou deux gouttes de sang?

     

     

    http://cieldefrance.eklablog.com/fini-2023-bapteme-de-2024-deux-gouttes-d-eau-ou-deux-gouttes-de-sang-a215224737

     

    ********************************************

    Génocide et Mondialisation: la Kollaboration En Marche, avec le monde arabo-turc, également!

     

     ********************************************

     

     

     

     

    L’UNRWA, un témoin indésirable ? 

    https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZJ_rCBcZUe8VNmQWjFIJnAM7g7EJHO3fyrPyiQFa1vYoAxtuTcfoACuaDu9OIOGt8POCGA9J6pOXgUVMZ0fpymqTFRrJKgBTC4fG2ImvyntDyLuXy2kUyda3GNTSre5IS6z2RIXoZT0ALJPtLIbn6FdXPwSeVp8z9qx6i2BSEZ9GwAfhyphenhyphenjiQXeA1lsjI/s1719/carte1.png

    Un chiffre: 5,9 millions
    C’est le nombre de « réfugiés enregistrés » pris en charge par l'UNRWA, dans 58 camps. 1.34 million d'entre eux sont répertoriés à Gaza.

     

    La concomitance est frappante, pour ne pas dire dérangeante. Le 26 janvier, alors que la Cour internationale de justice (CIJ) venait d’évoquer un « risque plausible de génocide » à Gaza et d’ordonner cinq mesures conservatoires à Israël, les États-Unis ont annoncé la suspension de leur aide à l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). Une quinzaine d’autres contributeurs dont le Canada, le Royaume-Uni, l’Italie ou l’Allemagne leur ont aussitôt emboîté le pas. La France, pour sa part, a indiqué de façon sibylline, qu’elle n’avait « pas prévu de nouveau versement au premier trimestre 2024 » et déciderait « le moment venu de la conduite à tenir ». En cause, les graves accusations portées par un document établi par les services secrets israéliens contre douze employés de l’UNRWA, soupçonnés d’avoir pris part à l’assaut du Hamas en Israël le 7 octobre 2023. Or, c’est en se basant, entre autres, sur des documents établis par l’agence onusienne que la CIJ a rendu son verdict du 26 janvier.
    Avant même que des fuites du rapport de Tel-Aviv ne soient orchestrées dans la presse américaine, l’UNRWA avait pris les devants en rendant publiques les allégations incriminant ses salariés en même temps qu’elle annonçait leur révocation et l’ouverture d’une enquête. Cette tentative de déminage n’a pas suffi à désamorcer la crise.
    Créée en 1949 pour fournir assistance et protection aux plus de 700 000 Palestiniens déracinés par la Nakba, cette institution n’a jamais cessé d’être critiquée par Israël qui voit en elle une organisation perpétuant ad vitam æternam le statut des réfugiés. Mais les nouveaux reproches sont d’une virulence inédite. L’UNRWA serait « fondamentalement compromise » avec le mouvement islamiste du Hamas, a lâché le 30 janvier M. Eylon Levy, le porte-parole du gouvernement israélien. « Dix pour cent des 12 000 employés de l’UNRWA dans la bande de Gaza [l’UNRWA chiffre ses effectifs à 13 000 personnes] sont des agents du Hamas ou du Jihad islamique », a-t-il indiqué, citant le rapport d’intelligence éventé par la presse américaine.
    Après avoir à son tour étudié ce document, la chaine d’information en continu britannique Sky News a estimé que certaines affirmations des services secrets israéliens, par ailleurs mis en cause pour n’avoir pas anticipé l’attaque du 7 octobre, n’étaient étayées d’aucune preuve. C’est pourtant bel et bien sur sa base que seize pays ont gelé leur aide à l’UNRWA.
    Considéré comme une punition collective infligée aux habitants de Gaza par les soutiens de la Palestine, la suspension de ces financements (d’un montant total de 440 millions de dollars, soit plus de la moitié de son budget en 2023) pourrait, selon l’agence, mettre en péril ses activités d’ici à la fin février, non seulement dans la bande de Gaza mais aussi dans ses autres régions d’intervention, en Cisjordanie, au Liban, en Jordanie et en Syrie. Dans ce contexte, la Norvège, l’Espagne, l’Irlande, la Belgique et la Nouvelle-Zélande se sont engagées à maintenir leurs contributions.

    Une définition
    Office des Nations unies pour les réfugiés palestiniens, l’United Nations Relief and Work Agency (UNRWA) est créé le 8 décembre 1949 par l’Assemblée générale des Nations unies. Cette création intervient près d’un an après le vote de la résolution 194, qui stipule le droit au retour des Palestiniens réfugiés. La reconnaissance de cette résolution (jamais entrée en vigueur) a permis à Israël d’intégrer les Nations unies. Prévu pour être un organisme temporaire, l’UNRWA, qui a commencé à fonctionner en mai 1950, existe toujours, puisque le dossier des réfugiés palestiniens reste ouvert. Conformément au mandat initial, l’éducation, la santé et les services sociaux sont ses principales missions.
    Avec la guerre de 1967 et les nouveaux transferts de population, son mandat s’est étendu à ces nouveaux « déplacés ». Après la signature des accords d’Oslo, un Peace Implementation Program a été élaboré, censé aider au développement des territoires palestiniens. Les conditions économiques liées en particulier à la non-application des accords et aux bouclages multiples hypothèquent l’essentiel des objectifs de ce programme. (Texte issu du Glossaire de l’Atlas 2001 des conflits, janvier 2001)

    Un chiffre: 5,9 millions
    C’est le nombre de « réfugiés enregistrés » pris en charge par l'UNRWA, dans 58 camps. 1.34 million d'entre eux sont répertoriés à Gaza.

    Le Monde-diplomatique de Février 2024

    https://assawra.blogspot.com/2024/02/lunrwa-un-temoin-indesirable.html 

     

     

    Sur le même sujet voir aussi:

     https://ca-times.brightspotcdn.com/dims4/default/d1c9dfd/2147483647/strip/true/crop/5760x3840+0+0/resize/1200x800!/format/webp/quality/75/?url=https%3A%2F%2Fcalifornia-times-brightspot.s3.amazonaws.com%2Fcf%2F42%2F9ed2608c453695982f86deb9832b%2Fhttps-delivery-gettyimages.com%2Fdownloads%2F1760257545

     

     

    La première décision de la CIJ:

     

    Victoire ou défaite, pour la Résistance???

     

    http://cieldefrance.eklablog.com/la-premiere-decision-de-la-cij-victoire-ou-defaite-pour-la-resistance-a215363455

     

     **********************

     

     

    Avec, en lien et en PDF, le texte original de la 1ère décision de la CIJ :

     

     

    Coup de Chapeau Macronien N°2 - 28/01/2024: "Suspension" des aides de la France à l'UNRWA!

    http://cieldefrance.eklablog.com/coup-de-chapeau-macronien-n-2-28-01-2024-suspension-des-aides-de-la-fr-a215357711

     

    Coup de Chapeau Macronien N°2 - 28/01/2024: "Suspension" des aides de la France à l'UNRWA!

     

     

    France 24: Echec de Tsahal à Gaza - Négociations et nouvelle trêve en vue!

    http://cieldefrance.eklablog.com/france-24-echec-de-tsahal-a-gaza-negociations-et-nouvelle-treve-en-vue-a215368915

     

    ***************************************

     

     

     

     

    « Pierre De Gaulle, une voix française pour la paix!Et si la France de son Grand-Père devenait celle de nos petits-enfants ??? Pierre De Gaulle, entre héritage et rupture… »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :