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Guerre ou paix au Liban? Les habits troués du "Général" Macron...
Le Général De Gaulle doit se retourner dans sa tombe... Macron se plie à tous les diktats américano-sionistes au sujet de la supposée paix au Liban... Macron n'a donné aucun moyen à la France de respecter et de faire respecter ses engagements vis à vis du Liban, qui doit lui-même lui demander de se plier aux exigences américano-sionistes pour ne pas se retrouver complètement isolé face à ce duo monstrueux. Telle est l'essence de l'analyse que l'on peut faire du rôle de la France dans cette tragique phase des incessantes guerres moyen-orientales causées par la rapacité de l'impérialisme US et de son pion local israélien.
Macron en est donc réduit à "protester" on ne peut plus formellement et sans aucun moyen de se faire respecter face aux violations du cessez-le-feu carrément et ouvertement revendiquées par Israël. Difficile, voire impossible, d'aller plus loin dans l'ignominie et la honte d'une "diplomatie" depuis longtemps ruinée et qui tend à faire de la France la catin des USA et du sionisme.
Tel est, en substance, le constat que fait le correspondant des "Echos" depuis Tel-Aviv, même si avec quelques "nuances" de pure forme qui n'empêchent pas le lecteur d'en arriver à ce triste constat que nous faisons ici.
Luniterre
Accord de cessez-le-feu au Liban : comment Macron a cédé à Netanyahou
Les médias israéliens et américains affirment que le Premier ministre israélien a obtenu du président français l'engagement qu'il ne serait pas arrêté en France, en échange d'un rôle actif de Paris dans l'accord de cessez-le-feu au Liban.
Par Pascal Brunel
Publié le 28 nov. 2024 à 15:24Mis à jour le 28 nov. 2024 à 17:32« C'est du donnant-donnant », souligne un diplomate israélien. Il résume ainsi la partie de bras de fer qui s'est jouée en coulisse entre Benyamin Netanyahou et Emmanuel Macron, avant l'annonce mardi d'un accord de cessez-le-feu au Liban qui doit mettre fin à près de quatorze mois de guerre.
Le chef du gouvernement israélien était furieux des déclarations françaises, notamment celle de Michel Barnier, qui a affirmé la semaine dernière que la France appliquerait les mandats d'arrêt lancés par la Cour pénale internationale (CPI) à l'encontre de Benyamin Netanyahou et de Yoav Gallant, l'ex-ministre de la Défense. Il a menacé, en représailles, de mettre son veto à toute participation active de la France à un accord sur le Liban.
« La France ne pouvait pas demander d'un côté de prendre une part active à des négociations sur un accord de cessez-le-feu, et de l'autre annoncer son intention de procéder à l'arrestation du Premier ministre s'il s'aventurait sur son territoire. Il fallait choisir », a souligné un proche de Netanyahou.
Selon des médias américains et israéliens, Joe Biden, pressé de conclure l'accord, serait également intervenu directement auprès du président français pour qu'il assouplisse les positions de la France sur ces mandats d'arrêt. Emmanuel Macron et Benyamin Netanyahou se sont ensuite parlé au téléphone à la fin de la semaine dernière. Dans un premier temps, le président français n'a pas pris d'engagement lors de cet entretien.
« Rétropédalage »
Mais les dirigeants libanais sont intervenus à leur tour. Ils ont exigé que la France soit partie prenante de tout accord, ne serait-ce que pour ne pas se retrouver entièrement dépendants de la bonne volonté des Etats-Unis. Finalement, ces pressions ont abouti. Le Quai d'Orsay a clairement laissé entendre que la France n'avait pas l'intention d'arrêter Benyamin Netanyahou ou Yoav Gallant lors d'une visite qu'ils pourraient effectuer sur le territoire français.
Les juristes ont justifié ce qu'un diplomate israélien a qualifié de « rétropédalage », en avançant l'argument qu'Israël ne fait pas partie, tout comme les Etats-Unis, des 124 pays membres de la CPI. « Les Français auraient pu s'en apercevoir un peu plus tôt », a ajouté avec une certaine ironie le diplomate.
Ce « geste » a aussitôt permis de débloquer la situation. Israël a finalement accepté que la France soit intégrée à la commission dirigée par les Américains, qui sera chargée d'examiner les plaintes pour d'éventuelles violations de l'accord de cessez-le-feu.
Pour « Haaretz », un quotidien israélien d'opposition de gauche, Paris a ainsi accordé un « énorme cadeau » à Benyamin Netanyahou, reconnu coupable par la CPI de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité dans la bande de Gaza. De nombreuses ONG de défense des droits de l'homme, dont Amnesty International, d'accord avec le constat de ce journal, ont dénoncé ce qu'elles considèrent comme une volte-face de la France.
Pascal Brunel (Correspondant à Tel-Aviv)
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Pour mémoire:
Novembre 1967, Conférence de presse du Général De Gaulle :
les sujets "brûlants", hier comme aujourd’hui !
L'intégrale De Gaulle 1967 en vidéo + les extraits essentiels Palestine et Québec en textes originaux
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Sur le même thème:
La CPI trahie: Macronisme et génocide, la Kollaboration en marche
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Source de l'article et de la compilation:
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Voir aussi:
Situation à Gaza, les écolos satisfaits: les ânes remplacent, de plus en plus, les automobiles
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Qamar et Samia: la Palestine en marche!
http://cieldefrance.eklablog.com/qamar-et-samia-la-palestine-en-marche-a216351539
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« La CPI trahie: Macronisme et génocide, la Kollaboration en marcheContre-offensive terroriste islamiste en Syrie: le double jeu de l'impérialisme et de son pion sioniste »
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